En mars 2024, quatre nouvelles personnes ont intégré l’équipe de Picardie Nature. Nous leurs souhaitons la bienvenue !
Léocadie BAREGE
Qui es tu ?
Je m’appelle Léocadie Barège, 24ans et j’ai deux chiens, Xena et Loki (dit le petit gros). J’ai beaucoup de passions, qui durent peu de temps, et actuellement je suis dans une phase lecture intensive et randonnée (à pied ou à cheval).
D’où viens-tu ?
Je viens du Nord, proche de Valenciennes
Quel est ton parcours ?
Universitairement, j’ai fait une licence de sciences de la terre et de l’environnement à Lille, puis un master de paléontologie, paléoenvironnement et patrimoine à Rennes
Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?
Pas de proches ou d’études particulières dans le domaine, c’est plutôt vivre à la campagne en pleine nature qui m’a sensibilisé à l’environnement et avec le contexte actuel, la protection de l’environnement est devenue totalement indispensable à mes yeux. Je cherche donc à me diriger vers le domaine et à en apprendre davantage.
Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?
Je connaissais de nom pour l’avoir vu en partenariat sur certains projets
Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?
Je suis en service civique pour 6 mois et participe à différentes missions concernant les Atlas de la Biodiversité communale, (Communauté de commune Picardie Verte et Montdidier) notamment les inventaires d’habitats et faunistiques et certaines missions de sensibilisation.
Que penses tu du curling ?
Considérant que j’ai dû faire une recherche internet pour comprendre les tenants et aboutissants de ce sport, je n’ai pas vraiment d’avis dessus.
Nora LEBARBIER
Qui es tu ?
Je m’appelle Nora Lebarbier, j’ai 23 ans et contrairement aux 3 autres stagiaires/services civiques, je n’ai pas d’animal de compagnie.
En vrai, je ne sais pas trop quoi dire donc je vais aller au plus simple : j’aime cuisiner et surtout manger, randonner et faire des choses de mes mains !
D’où viens-tu ?
Je viens de Nantes.
Quel est ton parcours ?
Concernant l’université, j’ai fait ma licence de Biologie-Ecologie à Nantes puis je suis partie à Paris pour mon master de Biodiversité-Ecologie-Evolution parcours Ecologie de la Conservation et Ingénierie Ecologique (oui, c’est très long comme titre).
Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?
Un peu comme Obélix, je suis tombée dedans quand j’étais petite grâce à ma mère qui travaille dans ce domaine. Ensuite, ce sont des rencontres avec des naturalistes, des membres d’associations diverses et variées, des professeurs aussi et beaucoup de temps sur le terrain qui ont alimenté mon envie de travailler dans ce milieu.
Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?
Je connaissais Picardie Nature de nom via des publications sur les réseaux sociaux ou par le bouche à oreille.
Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?
Je suis à Picardie Nature pour 6 mois, en stage de Master 2. Je travaille sur une étude pluriannuelle de 3 ans, pour évaluer la qualité des ripisylves via leurs paramètres structurels et typologiques ainsi qu’étudier les mammifères terrestres non-volants et les chiroptères de ces milieux. C’est un projet qui a pour but final de fournir des préconisations aux gestionnaires des cours d’eau du secteur Artois-Picardie. Cette étude est en partenariat avec le Groupe Ornithologique et Naturaliste du Nord (GON) et est financée par l’Agence de l’eau Artois-Picardie pour la période 2023-2025.
Quelle est ta position sur le browkie ?
Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bon ou de mauvais mélange. Moi, si je devais résumer mon avis aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des ingrédients, des gens qui m’ont donné faim, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seule chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les petites fringales forgent une destinée… Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la cuisine bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas le boulanger en face, je dirais, le miroir qui vous aide à vous décider. Alors ce n’est pas mon cas, comme je le disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu ; et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie… Je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent : « Mais comment fais-tu pour avoir cette gourmandise ? » Eh bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût du sucre et du chocolat, ce goût donc qui m’a poussée aujourd’hui à savourer un mélange si intelligent…
Elea PANSERAT
Qui es tu ?
Je m’appelle Elea PANSERAT, j’ai 22 ans. J’ai un chat légèrement enrobé, pour ne pas dire gros, du nom de Muffy et que j’aime beaucoup. J’adore voyager et faire de la photographie animalière, randonner à la montagne et me baigner à la mer ! Une vraie sudiste finalement…
D’où viens-tu ?
Du Sud ! Plus précisément à Arcangues, au Pays-Basque.
Quel est ton parcours ?
J’ai réalisé une Licence de biologie à l’université de Talence à Bordeaux, avec une troisième année spécialisée en écologie. Je suis actuellement en deuxième année de Master à l’université de Sorbonne à Paris, parcours ECIRE : Écologie de la Conservation et Ingénierie Écologique, sous parcours Conservation.
Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?
J’ai toujours été passionnée par la nature et la complexité de la biodiversité. La protection de l’environnement m’a toujours semblé indispensable, et d’autant plus dans le contexte actuel des changements globaux. C’est d’ailleurs pour ça que je me suis dirigée vers des études d’écologie, je souhaite participer activement à sa protection !
Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?
Oui ! De par les réseaux sociaux et le bouche à oreilles.
Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?
Je réalise mon stage de Master 2 au sein de Picardie Nature durant 6 mois. Je travaille, en binôme avec Nora, sur un projet pluriannuel de 3 ans (2023-2025) d’étude des ripisylves et des mammifères terrestres. Ce projet est financé par l’Agence de l’eau Artois-Picardie et se réalise sur le secteur Artois-Picardie, en partenariat avec le Groupe Ornithologique et Naturaliste du Nord (GON). Le but de notre étude est d’étudier les paramètres structurels et typologiques des ripisylves influençant l’activité et la diversité des mammifères terrestres non volants et des chiroptères avec pour finalité de fournir des préconisations aux gestionnaires de cours d’eau.
Un avis sur les claquettes chaussettes ?
C’est clairement la meilleure invention. Je suis une grande adepte de ce style, autant à la maison que dans la rue (oui je n’ai pas honte) ! :)
Simon LE DESCHAULT
Qui es tu ?
Je m’appelle Simon Le Deschault, j’ai 23 ans. J’ai plein de passions, mais celle qui prend la plupart, pour ne pas dire tout, mon temps libre c’est de découvrir plein de nouveaux endroits et de nouveaux paysages à travers la course à pied.
D’où viens-tu ?
D’un tout petit village au Sud Est de la Sarthe
Quel est ton parcours ?
J’ai fait une Licence de Biologie avec spécialisation biologie des organismes et des populations à l’Université d’Angers. Et je me suis par la suite retrouvé à faire un master Génie Écologique à l’Université de Poitiers.
Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?
Comme j’ai toujours vécu à la campagne, j’ai été baigné dedans petit. Je m’en suis un peu éloigné au cours du début de mes études mais les diverses rencontres que j’ai pu faire dans le domaine m’ont remises dans le droit chemin à partir de la licence. Et c’est vraiment à partir du Master que je me suis passionné pour les mammifères et particulièrement les chauves souris et leur protection.
Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?
Assez peu, j’avais déjà entendu parler un tout petit peu de PN par mes camarades de fac.
Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?
Je suis le stagiaire en charge de l’étude de la Barbastelle d’Europe en vallée d’Authie. Le but de cette étude est d’améliorer les connaissances sur cette espèce arboricole en vallée d’Authie. Pour cela je vais être amené à faire de la pose de détecteurs à ultrasons, et de l’analyse de sons des chiroptères (nom scientifique des chauves-souris). Ce qui va permettre de définir des zones ou vont êtres faites les différentes sessions de capture qui vont par la pose d’émetteurs sur les chauves souris nous permettre de faire du radiopistage afin de localiser leurs différents gîtes. Ce type de capture est strictement encadré et nécessite différentes autorisations, les chauves-souris étant des espèces protégées par la loi.
Qui préfères tu ? Barbapapa ou Barbamama ?
Barba, Barba … Barbastelle !
Association régionale de protection de la Nature et de l'Environnement
membre de France Nature Environnement, agréée par les ministères de l'Écologie et de l'Éducation Nationale
Picardie Nature - 233 rue Eloi Morel - 80000 AMIENS
- Tél. 03 62 72 22 50
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